Bilan définitif. . .
Le festival et l’association ont mûri. Espérons qu’ils n’en n’ont pas pour autant perdu leur mordant ?
C’est l’avenir qui nous le dira.
Ainsi commence le bilan, sous forme de perspective ?
Depuis 2005 nous nous sommes efforcés de reconstruire durablement les fondations de notre petite communauté (environ 250 bénévoles et techniciens). Nous avons une activité à l’année et nous essayons d’établir un prévisionnel décent !
Raisonnablement, le bilan du FESTIVAL 2007 est extrêmement positif sur le plan humain ; il y a une vie à l’intérieur de « chauffer », loin des impératifs financiers (qui semblent nous entraîner jusqu’en 20 008 !?!). Les échanges qui ont eu lieu en amont, pendant et après le festival, répondent à nos attentes, pourtant bien souvent taxées d’utopiques.
Mais voilà, le fait est, et c’est logique, que nos idéaux ont pris du plomb dans l’aile. Et même si nous sommes félicités pour le cadre exceptionnel, la décoration, l’accueil et la programmation (« qui a le mérite de proposer autre chose » nous dit-on), tout cela n’empêche pas le public de rester chez lui ou d’aller ailleurs, même si, ça aussi, c’est pas loin d’ici !
Le bilan est bref, tardif aussi. Nous étions partis nous ressourcer auprès de certains d’entre vous. Cette année nous ne nous attarderons par sur les remerciements qui pourtant pourraient être décuplés, mais ce sont les mêmes fidèles qui nous soutiennent (allez voir le bilan 2005 et 2006 si vous avez oublié).
Désormais les évènements doivent reprendre. L’action s’organise à nouveau, nous avons beaucoup de travail : toujours réaliser ce pari impossible.
A vous de nous commenter.
P.S : le festival ce fut aussi une aventure vertigineuse.
Avec de nouvelles techniques pour monter les chapiteaux !
Il y avait tout ça :
Ce n’est pas la faute de la patronne.
Mais il fallait venir avec un véhicule spéciale.
Alors on a fait intervenir un terrassier et sa femme ?
Finalement on a décidé de changer la tapisserie.
Notre Tom Cruise leur à payer sa tournée mais il n’était pas content car en cuisine ça bossait pas dur !
Pourtant ils avaient découpaient les carottes, is s’étaient même réunis pour en parler mais non finalement tout à la poubelle !
Le légume a bien fait rire certain
Mais ils riaient comme une pastèque jaune car ils étaient tous amoureux de la même femme !
Elle était belle mais Gerbator était dans la merde alors il a dit musique !
Dans le désordre ça donne l’éclat des yeux de la tête, le coeur de rona hartner, la classe my lullaby, le piano de jacques higelin, l’intensité d’i love ufo, l’amérique de the bellrays, la noirceur ! de year of no light, l’humanité de dupain, la douceur de fragile, le show de rinocerose, le monde de michniak, le z de zenzile, les looping d’atypik dub, la rage de jaya the cat, la gueule de hadji-lazaro, la chaleur de tire-larigot, les maux de casey, la boue des tambours du bronx, l’indépendance de fermin muguruza et notre coup de foudre mellismell.
Encore mieux que les photos, y a les vidéos de Daweed à propos du 3ème oeil (grand coup de chapeau à tout le crew) :
Promis à très bito
CDLN Fire Brigade